En Afrique de l’Ouest, les populations se livrent de plus en plus à des activités illicites pour faire face au changement climatique qui touche sévèrement la région. Les impacts environnementaux de ces économies illicites amplifient les effets néfastes du changement climatique. La présente étude de cas explore ces phénomènes associés dans les villages riverains du Parc National du Niokolo-Koba au Sénégal et propose des réponses.
À propos des auteurs
Analyste à la GI-TOC, Mouhamadou Kane étudie plus particulièrement les économies illicites au Sénégal, en Guinée et au Mali. Il était auparavant chercheur au Centre des Hautes Études de Défense et de Sécurité placé sous l’autorité du Président de la République du Sénégal.
Lucia Bird Ruiz Benitez de Lugo est directrice de l’Observatoire des économies illicites en Afrique de l’Ouest à la GI-TOC. Elle travaille sur la corrélation entre économies illicites, conflits et instabilité. Elle était précédemment conseillère juridique et politique du gouvernement du Punjab, au Pakistan, et du ministère des Finances, au Ghana.
Image : © Pako Dominguez/Alamy Stock Photo